
"The body is at once the most solid, the most elusive, illusory, concrete, metaphorical, ever present and ever distant thing- a site, an instrument, an environment, a singularity and a multiplicity. The body is the most proximate and immediate feature of my social self, a necessary feature of my social location and of my personal enselfment and at the same time an aspect of my personal alienation in the natural environment.” Bryan Turner
L’art corporel est devenu la base pour l’art de performance et l’art du media depuis le milieu de vingtième siècle. Il focalise sur la connaissance de soi et le monde à travers les extrêmes du corps humain. Chez l’art corporel, l’artiste est à la fois un caractère d’une œuvre et l’œuvre ; il s’agit de l’identité du corps et d’elle-même. Quant à l’artiste, il est important d’être pour (et engager) les spectateurs, et que les spectateurs établissent une relation avec l’artiste ; les relations entre l’artiste, l’individuel et le monde sont toujours explorées. Dans cette politique du visuel, le corps est à la fois « a point of view and a point of departure- a point of view and a point of departure that I am and that I also go beyond as I move off towards what I must become» (Vergine, 15). On peut voir les conflits entre toutes les impulsions de la vie et du corps: la sexualité, la violence, l’interrogation, combattant et opposant les traditions sociales et politiques, le classe social, etc. Dans la relation entre l’art corporel et post-modernisme, il s’agit de la subjectivité dans le sujet Cartésien : « Je pense donc je suis » ne marche plus car le sujet est conditionnel aux d’autres personnes, et n’existe pas seulement à cause de son création ; le sujet a une signification à cause de la présence des spectateurs, et donc une échange entre les deux.
Le scandale de l’art corporel des femmes dans les années soixante et soixante-dix était celui de montrer et trouver des identités nombreux dans soi-même, tandis qu’une crise d’identité. Beaucoup d’artistes féminines d’art corporel se subissaient leur corps à la douleur et aux actions cruels aussi pour montrer que l’esthétique est plus complexe car il n’y avait plus une distinction entre le spectacle sublime et le vulgaire. Pourtant, la raison sous-jacente l’utilisation de la douleur auto-infligée est vraiment de choquer les spectateurs, tandis que créer plus des liens entre l’artiste et le spectateur à travers le forme « faible » de la femme. Néanmoins dans ces années, il y avait une attitude négative vers l’art corporel par des critiques féministes car le corps de femme déjà était comme un objet. On peut voir l’idée du narcissisme comme une autre critique de cet art mais aussi une façon d’être plus radical en examinant l’idée d’elle-même.
Elle a refusé d’admettre à la douleur et aux souffrances après ses chirurgies comme une stratégie féminine car normalement, la chirurgie plastique est une douleur secrète pour une femme. La douleur se transporte aux spectateurs à travers « la perception de l’autre » : Orlan reconnaît qu’il est nécessaire d’être blessé psychologiquement en regardant une œuvre comme son corps. De plus, chez Orlan, il s’agit de la relation entre le corps, le sujet, et l’identité. Le corps originel est perdu, mais c’est un médium de transformation pour un échange (la perte et le gain). Elle met en point la déconstruction de l’identité à cause de l’idée du corps extérieur comme l’identité tout entier dans l’objectification de femme occidentale : « She recognizes that it is necessary to place herself inside a situation to participate in its dismantling, and that dismantling the idealized feminine form is a feminist political strategy” (O’Bryan, xvii).
Chez Dans Mon Peau, il y a une critique de la vie moderne dans le monde de la carrière : c’est une fragmentation de soi-même. La montée d’Esther chez son bureau montre sa besoin infliger plus de la douleur auto-infligée ; seulement les personnes qui se comportent comme des automates sont montrées chez sa profession. On peut voir ça pendant un dîner d’affaires, où Esther voyait son bras comme démembré de son corps sur la table. Son décours est aussi à cause de sa crise d’identité dans ses relations personnelles avec d’autres personnes. Son copain, ses amies, et sa famille sont assez absents comme des soutiens émotionnels et psychologiques pour Esther ; elle est toute seule dans ses souffrances et sa claustration dans un monde moderne. La plupart de sa douleur auto-infligée est faite dans des cadres de la vie quotidienne (les toilettes, à son bureau, dans sa chambre), une façon de plus profondément troubler et choquer les spectateurs. Ici, de Van est comme Orlan et Gina Pane dans son but d’explorer les limites des êtres-humains en faisant son performance dur à regarder.
Chez Action Sentimentale, il s’agit d’une échange dans l’espace entre le spectateur et Pane, dans laquelle il y a un retourne à travers l’utilisation du forme spécifique dans ses gestes simples. Il y a aussi des voix des femmes lisant des lettres entre deux femmes pendant les actions de Pane, et ça c’est une forme de la communion avec le sexe féminin. La quiétude et la paix qu’on trouve dans ces deux performances rituelles de la douleur auto-infligée (surtout le courant du sang) est une façon de résister la violence et être comme un guérisseur pour les spectateurs et l’humanité.
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