La puissance de l’installation est qu’elle transforme comment on est influencé et on a une interaction avec une espace particulière. Dans cette expérience, le temps et l’espace sont constants. Les types du média, utilisés dans les installations, incluent une liste interminable des objets et de la machinerie. Contrairement aux types standards de l’art, les installations peuvent entièrement contrôlent l’expérience sensorielles du spectateur. En effet, il y a un sens de la vulnérabilité. Les effets de l’art installation sont comparables de ceux trouvés dans le théâtre. Pour les deux, le spectateur anticipe être immergé dans l’expérience et en même temps maintenir sa propre identité. Dans un sens, l’installation installe le spectateur dans un nouvel environnement qui implore une perception subjective.
Le terme pour cet art n’était pas forgé avant 1969. En revanche, le style de l’art installation peut remonter ses origines dans les ready-mades de Marcel Duchamp. Un peu plus tard, quelques personnes utilisaient le terme « environnement. » En revanche, ces environnements n’avaient pas des sources étendues des médiums comme la dernière moitié du XX siècle et le début du XI siècle. La nouveauté de cet art était parfaite pour les buts des artistes féminins dans les années 60 jusqu’au présent. Enfin, les femmes pouvaient utiliser une forme d’art qui n’était pas déjà dominée par les hommes.
Une femme qui a commencé cette tendance était Niki de Saint Phalle. Ses « shooting paintings » étaient plus célèbres, mais son travail avec les « Nanas » a mené au sa grande installation – « Hon-en katedral » (1966). Inspirée par la grossesse de son amie Clarice Rivers, Saint Phalle a commencé à considérer plus l’idée des figures des femmes en relation à la société. La forme des Nanas embrasse cette idée, tandis qu’est une grande représentation et une incarnation de chaque femme. En revanche, Saint Phalle est allée plus loin quand elle a créé « Hon-en katedral » - ça veut dire « Elle – une cathédrale » en suédois. Saint Phalle lui a appelé une déesse. Avec les artistes Jean Tinguely et Per Olof Ultvedt, Saint Phalle pouvait créer cette Nana gigantesque (90 pieds x 27 pieds x 6 pieds) à 1966. La « Hon » est une Nana inclinante dont vagin les spectateurs entrent. L’intérieur inclut un planétarium dans un sein et un Milk-bar dans l’autre. Pour la plupart des spectateurs, l’expérience de la « Hon » était magique. Saint Phalle a transformé la terreur publique de l’intérieur de la femme à quelque chose à apprécier et admirer. Cette création a encouragé le public à avoir une interaction littérale et physique avec elle via son sexe.
La chère Louise Bourgeois inclut un élément de la sexualité dans ses œuvres aussi. Née à Paris en 1911, Bourgeois a eu une jeunesse intéressante, qui a impliqué l’affaire de son père avec sa nourrice. Après son immigration à New York en 1938, Bourgeois est devenue plus et plus influencée par les surréalistes européennes qui avaient immigré aussi. Les sculptures sont ses œuvres les plus célèbres, celles que Bourgeois a commencées aux années 40. Ses installations, intitulées « Cellules » (1986), contiennent des sculptures aussi. A 75 ans, Bourgeois a commencé ses œuvres et soutient qu’elles sont « un palier pour l’imagination. » Il y a un double sens dans la définition de la cellule. Une cellule peut être la fondation la plus basique pour la vie ou un autre nom pour la prison. Ces œuvres utilisent les deux aspects de ce nom. Chaque « Cellule » contient les éléments institutionnels et domestiques pour raconter une histoire, tandis qu’est entourée par les murs de verre et d’acier. Bourgeois explique que les « Cellules » démontrent les types différents du douleur – le douleur physique, émotif, psychologique, et spirituel, comme le douleur qu’elle a rencontré avec l’affaire de son père. Quelques œuvres sont chargés avec la sexualité de ces circonstances. Par exemple, « Cellule : Les mains et le miroir » contient les images surréalistes des mains dont les actions sont ambiguës : Est-ce que la main caresse l’autre ou l’abîme ? Cette ambiguïté est quelque chose que tout le monde peut comprendre. Il n’y a jamais un temps où quelqu’un sentit juste une émotion ; il y a un mélange des émotions. Dans « Cellule : Les sphères de verre et les mains », la sculpture des mains sont dans une position de la prière et sont très isolées. Des sphères, assis sur les chaises en bois, encerclent ces mains comme une relation entre un instituteur et son élève, ou bien un parent et son enfant. Bourgeois crée une autre relation – la relation entre le spectateur et la cellule. Le panneau de verre et de verre cassé cache la vue du spectateur. Le spectateur doit donc chercher à discerner les images à l’intérieur de la cellule ; cette frustration et ce désir à observer saisissent le spectateur. Ce que le spectateur voit est ouvert à son imagination – peut-être l’amour ou la mort, la liberté ou la captivité, etc.
Une autre femme artiste influencée par les surréalistes-comme Claude Cahun-est Annette Messager. Son nom est un homonyme : « a net », quelque chose qui a beaucoup de trous mais en même temps quelque chose qui piège. Elle est vraiment ce que son nom insinue – un messager. Son message était de l’art brut ou « Outsider Art » qui illustre des états mentaux et des mondes de la fantaisie. Cet art se montre dans son œuvre « Mes Vœux » (1988-91). Dans « Mes Vœux », Messager utilise une collection des photos des parties du corps. Elle met en point le thème des collections, en disant, « Collecting is a form of protection, a way of fighting against death. » Cette collection des images individus est attachée au mur avec les ficelles. Les photos ressemblent les images trouvées dans les églises ou les places du pèlerinage. Il y a un sens de la confusion avec l’identité parce que les images ne fabrique pas un corps. Les photos contiennent les images des jeunes et vielles, homme et femme, indifférent et nourrissant, et aussi les organes génitaux des femmes et des hommes. Cette mélange souligne que la sexualité n’est pas donnée mais choisie par le spectateur ; c’est le spectateur qui choisit l’identité de l’humanité.
Une installation qui est plus récente est « Douleur exquise » (2004) de Sophie Calle. Cet œuvre est vraiment remarquable et personnel. Le centre de cet œuvre souligne les effets d’évoquer et de guérir après une expérience bouleversante. La première moitié de « Douleur exquise » est un rapport des photos et du texte du voyage des trois mois du Paris à New Delhi. Calle, comme voyageur, cherchait être réunie avec son amant. En revanche, son amant a négligé à apparaître. Cette expérience est devenue une douleur exquise pour Calle. La première moitié de l’œuvre contiennent des lettres à son amant et les mémoires du voyage. Dans la deuxième moitié, Calle souligne un type de processus pour la guérison. Son récit de sa douleur exquise est à coté de la collection des histoires similaires, écrites par ses amis. « Douleur exquise » n’est pas juste un voyage de « emotional cauterization » mais aussi une transformation de l’expérience personnelle à l’art.
A cause de ces pionniers des femmes artistes et beaucoup d’autres, le monde pouvait voir le monde par les lentilles des femmes. Ces femmes ont réinventé le corps et comment nous le voyons – il n’y a plus des tabous avec de la perception du corps féminin. Le corps n’est plus défini par le sexe ou bien les organes. Des années 60 jusqu’à maintenant, l’augmentation de la connaissance du pouvoir des femmes est évidente. En revanche, leur travail n’est pas fini - cette re-négociation du corps continuera.
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